mercredi 4 juillet 2012

Des pointeurs vers la réalité

Salut à tous. Pour ceux d'entre vous qui pourrait y trouver un intérêt, j'ai écrit un exposé assez court sur ce qui est et qui résonne fortement en moi ces jours-ci. Loin de moi toute idée qu’il s’agit de la bonne façon et et que les autres approches sont erronées.  Il y a des millions de chemins, tous se déploient parfaitement. Je suis juste incroyablement reconnaissante d’avoir trouvé quelque chose qui m'entraîne irrévocablement . Je suis heureuse.

OK, alors voilà ma façon actuelle de parler de ce genre de choses ...

Plusieurs pointeurs sont apparus et ont ensuite été libérés. Ils sont, par ordre d'apparition:
«Pas de moi», vu pour être vrai et abandonné, remplacé par:

«Qu'est-ce qui est conscient, si ce n'est pas un moi?" Réponse: La conscience est présente et consciente. Pointeur abandonné, remplacé par:

«Qu’est-ce qui voit que la conscience est présente et consciente d'elle-même?" Réponse: la conscience. Pointeur abandonné, remplacé par:

«Qu'est-ce qui est conscient, conscience-ité? Réponse: Rien; rien, être (nom), ou une entité d'aucune sorte. Impossible d'aller plus loin sans un autre différent  type de pointeur, celui trouvé est:

«Je suis», le pointeur bien-connu, et parfois mal compris (au moins par moi dans un premier temps) du sage indien, Nisargadatta. C'est ce à quoi je réfléchis maintenant profondément, et j’ai fait des «progrès» à son usage.

Dans l'expérience «Je suis» commence ici, maintenant, avec la conscience d'être conscient. «Je suis», contemplé profondément, est ce qui révèle lentement ce qu'est la conscience (l’illusion l'associe beaucoup avec la construction mentale liée au temps, perçue par beaucoup qui sont en fait la conscience se percevant elle-même) et comment elle naît de la conscience, qui est non-duelle et éternelle.

Je suis le pointeur «JE SUIS» vers ce qui est son inévitable conclusion, être finalement abandonné. Si il y a un «succès» prenant sa place ce sera quelque chose d'indescriptible, souvent appelé Absolu, inexistant, et ne peut donc pas être connu, expérimenté, ni même discuté manière cohérente, etc., etc., et pourtant, ces choses «se produisent». Nisargadatta, entre autres, parle du mode de réalisation (contradiction totale dans les termes, impossible et pourtant il est là) de cet absolu.

Ma principale clef dans tout cela est mon entière confiance en l'expérience intuitive directe, venant de l'intériorité la plus profonde. Elle n'a tout simplement jamais échoué. Mon seul autre indice, c'est la confiance vivante que j’ai en ceux qui «nous ont précédés». Tout comme la confiance que j'avais pour mon guide sur Libération Unleashed le site web, où j'ai réalisé tout d’abord qu’il n'y a pas de 'Je'.

Tout ce qui précède est mis en mots dans, et tel, une manifestation duelle; pointant la non-dualité/ l’ineffable, et c’est le meilleur cours que je puisse faire.
Et c'est une joie de simplement essayer.

Lisa Katleen

Page originale traduite par Christine – Vous êtes invités à partager ce texte à condition de respecter son intégralité et d'en citer la source: http://du-tout-et-du-rien.blogspot.com/

2 commentaires:

  1. bonjour à vous, j'ai parlé de votre site sur le mien. merci d'être toujours aussi inspirante!

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    1. Merci Marco!
      Je partage votre site dans les blogs des lecteurs,
      Bonne journée!

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