dimanche 21 décembre 2014
lundi 15 décembre 2014
Petit guide pour la présence

A noter que cela peut demander un certain "effort" au début, celui d'y prêter attention.
Mais dès que l'on constate les 1ers effets positifs, on sent qu'il s'agit là d'une porte merveilleuse de liberté et joie de vivre.
Rien à changer de ce qui se passe, rien à améliorer, rien à manipuler.
Il s'agit juste d'être présent consciemment, légèrement, sans volonté particulière à ce qui est, à chaque instant.
A chaque instant, il y a quelque chose qui se vit, il y a des faits, des sensations, des sentiments, des émotions etc.. Cela se passe et s'expérimente.
Dans notre habitude, nous n'y prêtons pas attention, notre regard est tourné sans cesse vers ce que dit la tête.
Je vous propose d'inverser cette tendance en mettant votre attention naturelle sur toutes les autres perceptions habituellement délaissées. Ceci, pratiqué régulièrement, peut changer radicalement le point de vue et donc le vécu.
vendredi 10 octobre 2014
L’éveil, mais plus tard !
En réalité, nous ne voulons pas nous éveiller. nous sommes en résistance.
L’éveil n’attend que la capitulation de l’illusion.
Renoncer à notre “personnage”, à ce que nous croyons être, n’est pas évident.
Curieusement, c’est notre personnage qui s’est mis en quête de l’éveil.
Pourtant, si l’on y regarde bien, cela représente pour lui une sorte de “suicide”. Comme je le dis à travers cette image du poing qui cherche la main, tant que c’est le « poing » qui cherche, qui espère, celui-ci se prolonge, continue…
L’éveil n’attend que la capitulation de l’illusion.
Renoncer à notre “personnage”, à ce que nous croyons être, n’est pas évident.
Curieusement, c’est notre personnage qui s’est mis en quête de l’éveil.
Pourtant, si l’on y regarde bien, cela représente pour lui une sorte de “suicide”. Comme je le dis à travers cette image du poing qui cherche la main, tant que c’est le « poing » qui cherche, qui espère, celui-ci se prolonge, continue…
samedi 20 septembre 2014
Le témoignage de Jill Bolte Taylor
Plein d'enthousiasme, drôle et émouvant!
lundi 1 septembre 2014
« Moi » est une « chose »
Dernièrement est remonté un souvenir : j'ai 11 ans et parle avec une voisine qui en a 13 et me paraît plutôt bizarre dans son comportement. Je la regarde et me demande : « Si j'étais elle, serai-je elle telle qu'elle est ou serai-je moi dans son corps ? ». On se pose de drôles de questions à 11 ans...
Bon, depuis que l'idée d'être une personne a fondu, la réponse a surgi : il faut parfois du temps pour répondre à des questions si enfantines. Cependant a émergé une autre question : « Qu'est-ce qui a fait que l'idée d'être quelqu'un a pu survivre face à la radicalité du vide ? », qu'est-ce qui lui donne cette « force » et qu'est-ce qui la nourrit?
Bon, depuis que l'idée d'être une personne a fondu, la réponse a surgi : il faut parfois du temps pour répondre à des questions si enfantines. Cependant a émergé une autre question : « Qu'est-ce qui a fait que l'idée d'être quelqu'un a pu survivre face à la radicalité du vide ? », qu'est-ce qui lui donne cette « force » et qu'est-ce qui la nourrit?
mercredi 27 août 2014
Se Dissoudre dans sa Vision
- Satsang dans le Jardin de Mooji -
Comment vivre sa vie lorsqu'on atteint une vision profonde de sa propre vérité?
mardi 5 août 2014
La Vie qui se reconnait.
La qualité sonore n'est pas fameuse aussi je vous conseille de baisser le son.
Si les sous-titres n'apparaissent pas pensez à les activer en bas à droite.
dimanche 27 avril 2014
dimanche 9 mars 2014
Cicatrices...Quelles cicatrices ?
Impossible, de confondre sa présence vivante d’avec un dessin dans le miroir. Aussi, je n’avais encore aucune cicatrice. Les adultes autour de moi, ont tricoté une histoire autour de ces cicatrices, allant jusqu’à associer ce que je suis à ce simple reflet vers le monde. Confiante, je me suis attribuée par une grande méprise, pendant 28 ans, des cicatrices qui n’avaient rien à voir avec moi.
Mais un matin, j’ai cherché mes cicatrices, sans intermédiaire, directement de moi à moi, et je ne les ai pas trouvées !
Où étaient-elles passées ?
Comment était-ce possible d’avoir vécu si longtemps accrochée à une certitude aussi concrète et tangible que celle d’avoir des cicatrices, et un matin, réaliser qu’il n’y en a jamais eues ! Enfant, je le savais bien, que je n’avais pas de cicatrices. Et je ne comprenais jamais ce que soignaient les chirurgiens, ni ce qu’il y avait à arranger-là. D’ailleurs tout ce travail demeurait toujours vain, je ne voyais absolument aucun changement !
dimanche 23 février 2014
Le poids des pensées
La
pensée a un poids. Penser à une chose, c'est la déformer, car la
pensée d'une chose n'est pas la chose. La pensée est une
représentation mentale. Confondue avec la réalité, elle prend un
poids, non pas dû à sa structure énergétique, mais à l'émotion
qui s'y greffe, qui fait miroiter le trésor de ce que je suis dans
ce que je ne suis pas.
C'est
le mental tout entier qu'il convient d'inclure dans son regard. Car
c'est sa totalité, depuis sa naissance jusqu'à sa mort, qui
maintient vivant le mirage du devenir.
Se
désencombrer est ainsi se désencombrer des mirages qui occupent mon
esprit, l'emplissent tant, que l'esprit lui-même, qui les contient,
est ignoré.
Vivre
léger, c'est vivre à partir de la conscience sans pensée. Les
opinions, points de vue et jugements sont alors distants. Ils ne sont
plus confondus avec la réalité. La réalité de mon être est sans
pensée. Elle est présente avant que j'y sois présent. Elle est, en
réalité, présence. La présence, qui est présente à chaque
instant, est sans poids. Elle est transparente, toujours fraîche et
innocente. Elle est le regard de l'enfant étonné, de la femme
aimante, et du sage accompli. Elle ne peut être trouvée, étant
déjà là.
mardi 18 février 2014
Pléiades
Une superbe chorégraphie par la compagnie japonaise Enra, accompagnée de jeux de lumière. Poétique, technique et magique! Enjoy!
Performance & Choreography :Saya Watatani , Maki Yokoyama
Director : Nobuyuki Hanabusa
Animator : Seiya Ishii , Nobuyuki Hanabusa
Music : Nobuyuki Hanabusa
http://enra.jp
lundi 17 février 2014
Soi et la pure conscience
Dès notre tendre enfance nous
apprenons à nous construire une identité forte pour survivre. Cette
identité peut être celle d’un vainqueur ou d’un vaincu. La
société aime les gagnants, mais les victimes attirent aussi
beaucoup de sympathie.
Plus tard, nous apprenons à faire notre place dans le
monde et à développer des relations interpersonnelles harmonieuses.
Certains apprendront à gérer leurs émotions et étudieront
différentes techniques pour s’en libérer. Ces approches ont leur
place dans notre évolution, elles nous permettent de survivre.
Puis, arrive un jour où nous découvrons les limites
de la survie et commençons à chercher quelque chose de plus
simple, plus naturel et plus vivant. L’impulsion pour « vivre »
dépasse celle pour «survivre».
Dans cette transition où l’élan pour « vivre » et
« être vraiment soi » commence à surpasser l’impulsion de
survie. Quelques remises en question s’imposent. Dans un système
où la survie dominait, certaines croyances avaient leur utilité.
Elles sont maintenant des obstacles à une vie simple et légère.
dimanche 26 janvier 2014
Un brin d'herbe
![]() |
Pedro Ribeiro Simões (Flickr) |
Suis-je mort ?
Il y avait bien, de temps à autre, une explosion d'amour pur. Il y avait bien des extases – ce qu'Adyashanti nomme « le premier baiser de l'éveil ». Mais, entre ces explosions : le silence. Il y avait le monde tel qu'il est, sans mes histoires.
Suis-je mort ?
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