lundi 7 novembre 2011

Donnez votre cœur à quelqu’un

Dans chaque interaction que vous avez avec un autre être humain - peu importe qui - vous avez toujours deux principaux choix.
(Le mot clé est choix.)

Un choix conduit généralement à l'interaction logique (ennuyeuse), la politesse, les formalités. Et, plus important encore, au manque de connectivité.

L'autre conduit généralement à une discussion intéressante, l'amour (oui, l'amour), la vitalité, l'amitié, le don. Et à la connectivité.

Dans chaque interaction vous pouvez donner à l'autre votre esprit, votre intelligence, vos points intelligents, le qui / quoi / où / quand / pourquoi de votre existence.

C'est la chose facile à faire. La seule chose sûre à faire. Cela ne demande pas trop, le cas échéant, de force émotionnelle, ou d'exposer vraiment qui vous êtes. De cette façon, vous pouvez cacher aux autres (ou à vous-même, selon comment vous regardez) et ne risquez pas le rejet en ne donnant à personne la chance de vous rejeter.

Ou alors vous donnez votre cœur à quelqu'un - le vrai vous, votre présence, votre attention véritable.

C'est la chose difficile à faire. La seule chose risquée à faire. Elle implique une énorme quantité de force émotionnelle (jusqu'à ce que ce ne soit plus nécessaire). Cela implique d'être dans l'instant présent. Et cela implique de traverser la peur difficile et étouffante du défi, et de le faire.

Au lieu de penser quoi dire ou quoi faire, vous laissez l'expérience de votre ressenti intérieur diriger vos paroles et vos actes envers les autres.

Pensez au nombre de fois où vous vous êtes auto-censuré et avez appuyé sur le bouton «sourdine». Pourquoi? Pourquoi ne pas simplement supposer que ce que vous avez à dire est précieux, même si cela ne sort pas facilement? Alors peut-être pouvez-vous dire ensuite: «Oh, c'était boiteux» et vous en riez.

C'est ce genre de moment - en - moment où la sincérité est nécessaire.

C'est si facile (mais effrayant) à mettre en pratique parce que vous savez toujours ce qu'il faut dire ou faire dans toute interaction avec quelqu'un d'autre. Le problème est d'avoir le courage de le faire.

N'est-il pas temps de se sentir moins anxieux, moins seul et moins vide?

Christopher Lowman

Page originale traduite par Christine – Vous êtes invités à partager ce texte à condition de respecter son intégralité et d'en citer la source:http://du-tout-et-du-rien.blogspot.com/

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